Environnement professionnel
Dans le cadre de sa stratégie de Responsabilité Sociale des Organisations (RSO), le ministère de la Culture et ses établissements publics s'engagent à promouvoir l'égalité professionnelle et la prévention des discriminations dans leurs activités de recrutement. Une cellule d'écoute, d'alerte et de traitement est mise à la disposition des candidats ou des agents qui estimeraient avoir fait l'objet d'une rupture d'égalité de traitement

Activité du service
Le service du numérique (SNUM) a la mission de conduire et coordonner la stratégique numérique du ministère et des organismes placés sous sa tutelle. Il porte une vision positive d'un numérique responsable et durable, à même de favoriser la démocratie culturelle et le rayonnement de la diversité culturelle française. Rattaché au Secrétariat général du ministère de la Culture, le SNUM comprend deux sous-directions et quatre départements et totalise 101 agents (catégorie C à A+).

Au sein du SNUM, le département stratégie et pilotage du numérique garantit la cohérence et la mise en oeuvre de la stratégie sur l'urbanisation SI et sur les offres de service du SNUM.
Il récolte et évalue l'ensemble des besoins métiers. Il impulse et pilote la gouvernance numérique ministérielle dans une volonté  de dialogue constant avec les métiers, de transparence sur les actions menées, de bonne économie de moyens et d'amélioration du service rendu aux agents et usagers du ministère

Liaisons hiérarchiques
Le poste est hierarchiquement rattaché au responsable du département stratégie et pilotage du numérique.

Liaisons fonctionnelles
Le RSSI inscrit son activité dans le cadre global fixé par le SHFDS ministériel. Il travaille en transversal pour appuyer l'ensemble des équipes du SNUM. Il a également pour rôle de sensibiliser les directions métiers et les agents du ministère sur ces enjeux de sécurité. Enfin, il est amené à participer aux travaux menés en interministériel au sein de la DINUM et de l'ANSSI.

Missions et activités principales
Le Responsable sécurité des systèmes d'information assure le respect dans la durée des 5 grandes orientations stratégiques de la politique de sécurité du numérique (PSNUM) du ministère de la Culture :
1- garantir la continuité d'activité,
2- faire des agents les premiers acteurs de la sécurité,
3- adapter le niveau de sécurité aux enjeux métiers,
4- renforcer les relations de confiance avec les tiers,
5- mettre en place les principes de gouvernance au sein de l'ensemble du ministère.

Il assure un rôle de conseil, d'assistance et d'appui opérationnel auprès de l'ensemble des responsables de lignes de produit du service du numérique (SNUM) afin d'anticiper le risque de cyber sécurité. Il conduit les homologations de sécurité, pilote la réponse aux évènements de sécurité et améliore plus généralement la résilience des services fournis par le SNUM. Il ou elle assure également le rôle d'Autorité d'Enregistrement Déléguée (AED) de niveau 1 pour la gestion des cartes agents sur l'ensemble du Ministère (y compris les établissements publics sous tutelle).

A cette fin, le ou la Responsable sécurité des systèmes d'information assure le pilotage de la ligne de produit « sécurité opérationnelle ».
Cette équipe est constituée d'un responsable du centre des opération de sécurité (SOC), d'un directeur de projets et d'un chargé de mission cybersécurité.

Il travaille en étroite collaboration avec le service du haut fonctionnaire de défense et de sécurité du ministère (SHFDS) et plus particulièrement le centre d'alerte et de réaction aux attaques informatiques du ministère (CSIRT).

Habilitation « Très Secret » (anciennement « Secret défense ») nécessaire
Fortes disponibilité et réactivité en cas d'incident SSI

Compétences techniques
- Développement d'une stratégie et gestion de la sécurité de l'information
- Sécurité agile et pratiques DevSecOps
- Veille technologique
- Gestion de l'information et de la connaissance
- Identification des besoins
- Gestion des risques
- Gouvernance du SI
- Système d'information et alignement stratégique métier

Savoir-faire
- Conduit la stratégie pour ancrer la sécurité de l'information dans la culture de l'organisation,
- Est responsable de l'intégrité, de la confidentialité et de la disponibilité des données stockées dans le système d'information,
- Remet les acquis en question,
- Fournit un point de vue expert pour guider l'équipe dirigeante vers des décisions stratégiques,
- Met en oeuvre des solutions innovantes fondées sur les informations extraites,
- Définit et fait appliquer une politique de gestion des risques,
- A le sens de l'organisation, sait établir des priorités et allouer des ressources,
- Sait gérer des crises,
- Travaille en mode projet.

Savoir-être
- Sens de la communication et de la pédagogie,
- Force de propositions et de conseils,
- Leadership et capacité d'animation des équipes, écoute et empathie, sens du relationnel,
- Coopération et fonctionnement en transversal,
- Maîtrise du partage et de la remontée des risques et des alertes au bon niveau,
- Réactivité et flexibilité, gestion des délais et des imprévus,
- Gestion des émotions,
- Capacité à adapter son discours en fonction de son interlocuteur,
- Sens critique,
- Sens du service et du résultat,
- Sens de la confidentialité,
- Ouverture d'esprit.

Profil de candidat recherché (le cas échéant)
Niveau requis : Bac +5 ou niveau équivalent acquis par l'expérience. Expérience souhaitée d'au moins 5 ans sur une fonction similaire.

Tous les postes du ministère de la Culture et de ses établissements sont ouverts aux personnes reconnues comme travailleur.euse handicapé.e.

Les candidatures seront examinées collégialement. Les personnes présélectionnées seront invitées à un ou plusieurs entretiens. Conformément aux  recommandations de la CNIL et aux dispositions du code du travail des mises en situation ou des tests d'évaluation contribueront à l'appréciation de la capacité à occuper l'emploi.

Dans le cadre de sa stratégie de Responsabilité Sociale des Organisations (RSO), le ministère de la Culture s'engage à promouvoir l'égalité professionnelle et la prévention des discriminations dans ses activités de recrutement. Une cellule d'écoute est mise à la disposition des candidats ou des agents qui estimeraient avoir fait l'objet d'une rupture d'égalité de traitement.