Environnement professionnel :
La sous-direction des affaires économiques et financières fait partie, avec la sous-direction de la politique immobilière et des services généraux, du service des affaires financières et générales.
Ce service est l'un des quatre services du secrétariat général placé sous la direction du secrétaire général et de la secrétaire générale adjointe.

La sous-direction des affaires économiques et financières est constituée de six entités : le département des affaires budgétaires et de la synthèse ; le bureau de la qualité comptable ; la mission du contrôle interne pour la maîtrise des risques ; la mission de modernisation de l'information financière ; la mission de la fiscalité ; la mission du mécénat.

Liaisons hiérarchiques :
N+1 = Sous-directeur des affaires économiques et financières
N+2 = Chef du service des affaires financières et générales

Liaisons fonctionnelles :
- cabinet de la Ministre, secrétariat général (notamment sous-direction de la politique immobilière et des services généraux, service du numérique, service des ressources humaines, service des affaires juridiques et internationales), ensemble des bureaux et départements des affaires budgétaires et générales des directions d'administration centrale, etc. ;
- contrôleur budgétaire et comptable ministériel (CBCM), direction du budget, direction de la législation fiscale, Parlement, Cour des comptes, etc.

Missions et activités principales :
Sous la direction du chef de service des affaires financières et générales et du sous-directeur des affaires économiques et financières, l'adjoint au sous-directeur participe à l'animation de la sous-direction des affaires économiques et financières. Il assiste le sous-directeur dans l'exercice de l'ensemble de ses fonctions de pilotage, et le représente en son absence.
Dans ce cadre, il lui est confié des missions qui ont trait :
- à la coordination de la fonction financière ministérielle exercée opérationnellement par le département des affaires budgétaires et de la synthèse  ;
- à l'exercice de la tutelle des opérateurs du ministère ;
- au bon fonctionnement de la chaîne de la dépense et de la qualité comptable et à sa modernisation constante via les systèmes d'information financière ;
- au déploiement et à la mise en oeuvre des dispositifs de contrôle interne ;
- à la politique fiscale du ministère de la culture, de ses opérateurs et des acteurs culturels ;
- à la politique mécénat du ministère et de ses opérateurs.

Poste avec un réseau d’interlocuteurs important à gérer et exigeant une forte implication.

Compétences techniques :
- connaissance de l'environnement professionnel : niveau expert ;- compétences budgétaires et comptables : niveau expert ;- compétences en informatique bureautique : niveau expert ;
- compétences juridiques : niveau pratique.

Savoir-faire:
- savoir travailler en équipe : niveau expert ;
- savoir s'organiser : niveau expert ;- savoir rédiger et analyser : niveau expert ;
- avoir l'esprit de synthèse : niveau expert ;
- savoir hiérarchiser et déléguer : niveau expert.

Savoir -être :
- réactivité et capacité d'adaptation aux fluctuations de la charge de travail : expert ;
- autonomie, écoute des partenaires et facilité d'adaptation : expert ;
- capacité de synthèse et de création de consensus : maîtrise ;
- sens de la négociation avec des partenaires multiples : maîtrise.

Tous les postes du ministère de la Culture et de ses établissements sont ouverts aux personnes reconnues comme travailleur.euse handicapé.e.

Les candidatures seront examinées collégialement. Les personnes présélectionnées seront invitées à un ou plusieurs entretiens. Conformément aux  recommandations de la CNIL et aux dispositions du code du travail des mises en situation ou des tests d'évaluation contribueront à l'appréciation de la capacité à occuper l'emploi.

Dans le cadre de sa stratégie de Responsabilité Sociale des Organisations (RSO), le ministère de la Culture s'engage à promouvoir l'égalité professionnelle et la prévention des discriminations dans ses activités de recrutement. Une cellule d'écoute est mise à la disposition des candidats ou des agents qui estimeraient avoir fait l'objet d'une rupture d'égalité de traitement.